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Méta
Ia orana!
désolé, je ne vais pas sur facebook, mais un grand merci pour ces images, souvenirs, et autres de Hao, ou je me suis retrouvé, « parce que le devoir m’appelait », de décembre 1969 à octobre 1970.
J’étais simple troufion, plus exactement « afficheur-marqueur » à la tour de contrôle, pas trop dur.
Mon taf consistait à passer au bar du Loire en arrivant, prendre une caisse de « Manuia », monter à la vigie, installer les bières devant un climatiseur, faire un bref coup de ménage en attendant les sous-offs, et surveiller le trafic aérien, assez lache hors les périodes de tir, où les horaires ne comptaient plus, quand les DC8 F-RAF ou F-RAFB apportaient les bombes (8 cette année là), et quand elle pétaient, setaper le souffle bien chaud des Vautours en bout de piste, en décontamination.
Le reste était commun, et presque tous les soirs, bouffés par les nonos, à la lueur de ma petite lampe à pétrole, des lignes pour celle que j’allais épouser en revenant; En fait, en bon cantalou, je ne pensais qu’à mes montagnes d’Auvergne, ma douce…
Puis 45 ans ont passé, j’ai 67 ans samedi, et devinez quoi? Je ne sais pas si c’est une idée que je me fais, mais je crois que j’aimerai finir mes jours à Hao!
Certes, avec 800€ par mois, je ne ferais pas de folie, mais un petit canot à voile pour des virées sur les motus déserts (j’ai été convoyeur de voiliers), une participation bénévole à la vie de là-bas, j’imagine que ça me suffirait amplement.
Il faut que j’arrête d’y penser, mais malgré tout… J’y pense!
Je suis allé à Mooréa en 2009, comme témoin de mariage de … mon témoin, en 1971, et qui est décédé depuis, je me suis pris un grand coup de « fenua » dans la tronche, et malgré la beauté des iles sous le vent, c’est à Hao que je pense!
C’est grave, docteur?
Charles (pseudo, je n’aime pas mettre mon patronyme sur internet.
Merci Charles pour ton message. C’est pas grave, nous sommes beaucoup comme toi a penser a retourner sur Hao, mais dans la vie nous avons tous des priorités et souvent ce retour n’est pas possible (pour diverses raisons). Amicalement
Merci de ta réponse.
Evidemment je ne sais pas ce que je ferais à Hao, à 67 ans et pas en très bonne santé, mais je sais que je pourrais toujours y vivre au calme, surtout quand je vois ce qui vient d’arriver à Paris.
Mes vieux os au soleil un petit faré, faire un peu de bénévolat…
Ca restera surement un rêve, mais les rêves aident à vivre!
Charles.